Depuis une vingtaine d’années, le déferrage a fait couler beaucoup d’encre dans le milieu des courses hippiques. C’est pourquoi les institutions ont décidé de notifier cette donnée au début des années 2000 dans les courses de trot. Le crack Général du Pommeau est l’un des chevaux qui a sans doute été le déclencheur de cette décision. Le protégé du jockey Jules Lepennetier a vraiment été amélioré par le fait de courir pieds. Vainqueur du Prix d’Amérique dans cette configuration sur l’hippodrome de Vincennes, il fallait adopter une décision qui a permis aux parieurs plus de transparence. C’est une information qui permet aux pronostiqueurs de la presse hippiques ou aux turfistes d’avoir une indication importante et utile dans l’étude du Tiercé Quarté Quinté plus ainsi que de toutes les autres courses de trot attelé.
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Déferrer, quel avantage?
En retirant les fers d’un cheval, l’entraîneur lui permet de trotter avec plus de légèreté. C’est un gain de vitesse qui va lui permettre de réaliser de meilleures performances dans les courses hippiques. Tout comme un sprinter ira plus vite avec des chaussures légères, un cheval de trot va pouvoir effectuer ses battues avec plus de vélocité.
Tout est une question d’équilibre également et il faut que le cheval de course ne soit pas au galop. C’est donc à l’entraîneur de faire les réglages afin d’adopter la meilleure ferrure pour son pensionnaire afin qu’il puisse fournir sa meilleure valeur dans les courses de chevaux. Tout dépend également de l’hippodrome. Certaines pistes sont plus propices au déferrage. Ainsi, sur l’hippodrome d’Enghien, la terrain est parfois plus ferme qu’à Vincennes et les entraîneurs ont tendance à laisser les chevaux ferrés.
Déferrer des postérieurs
Il s’agit de retirer les fers mais uniquement aux postérieurs, c’est-à-dire, les membres de derrière pour le cheval de trot. Comme dit plus haut, il faut que le cheval soit bien équilibré pour ne pas prendre le galop. Si le trotteur a besoin d’avoir plus de poids au membres antérieurs pour pouvoir trotter de manière plus efficace, c’est une solution adaptée. C’est technique et parfois le poids doit être ajusté en fonction des allures et chaque cheval va avoir ses propres réglages.
Déferrer des antérieurs
Cela consiste à enlever les fers mais uniquement aux antérieurs, c’est-à-dire, les membres de devant pour le cheval de trot. Comme dit plus haut, il faut que le cheval soit bien équilibré pour ne pas prendre le galop. Si le trotteur a besoin d’avoir plus de poids au membres postérieurs pour pouvoir trotter de manière plus efficace, c’est une solution adaptée. C’est technique et parfois le poids doit être ajusté en fonction des allures et chaque cheval va avoir ses propres réglages.
Déferrer des quatre pieds
Cela consiste à enlever les fers aux quatre membres pour le cheval de trot. Comme dit plus haut, il faut que le cheval soit bien équilibré pour ne pas prendre le galop. Un cheval qui n’a pas besoin de poids va plus vite ainsi car, en étant bien mécanisé, il va pouvoir accélérer ses battues sans aucune gêne.
Comme vous le voyez, le déferrage pour un cheval de course a pour objectif principal de l’amener à réaliser de meilleures performances durant les courses hippiques. Cela dit, il ne faut pas abuser du déferrage. D’ailleurs, les instances interdisent de déferrer les chevaux de trot les plus jeunes pour les préserver et leur permettre de durer. Ainsi, cela est interdit pour les chevaux avant l’âge de 4 ans, tout du moins au 1er janvier de leur quatrième année.
Plaquer, une solution plus adéquat
Depuis quelques années, les entraîneurs ont recours à cette méthode intermédiaire entre rester avec des fers et le déferrage. Récemment notifié par les institutions vis-à-vis des turfistes et parieurs, le plaquage qui permet d’alléger le cheval de course dans sa ferrure en limitant les effets sur ses pieds. En mettant des plaques aux pieds des chevaux, ils sont protégés mais en même temps, ces plaques sont légères et lui permettent malgré tout de gagner en vitesse d’exécution dans les courses hippiques qu’ils disputent.
Plaquer des postérieurs
Il s’agit de mettre des plaques mais uniquement aux postérieurs, c’est-à-dire, les membres de derrière pour le cheval de trot. Comme dit plus haut, il faut que le cheval soit bien équilibré pour ne pas prendre le galop. Si le trotteur a besoin d’avoir plus de poids au membres antérieurs pour pouvoir trotter de manière plus efficace, c’est une solution adaptée. C’est technique et parfois le poids doit être ajusté en fonction des allures et chaque cheval va avoir ses propres réglages.
Plaquer des antérieurs
Cela consiste à mettre des plaques mais uniquement aux antérieurs, c’est-à-dire, les membres de devant pour le cheval de trot. Comme dit plus haut, il faut que le cheval soit bien équilibré pour ne pas prendre le galop. Si le trotteur a besoin d’avoir plus de poids au membres postérieurs pour pouvoir trotter de manière plus efficace, c’est une solution adaptée. C’est technique et parfois le poids doit être ajusté en fonction des allures et chaque cheval va avoir ses propres réglages.
Plaquer des quatre pieds
Cela consiste à mettre des plaques aux quatre membres pour le cheval de trot. Comme dit plus haut, il faut que le cheval soit bien équilibré pour ne pas prendre le galop. Un cheval qui n’a pas besoin de poids va plus vite ainsi car, en étant bien mécanisé, il va pouvoir accélérer ses battues sans aucune gêne.
Comme pour le déferrage, le plaquage a pour objectif principal d’amener un cheval à réaliser de meilleures performances durant les courses hippiques. Contrairement au déferrage, le plaquage est accepté même pour les jeunes générations, dont les poulains et pouliches de 3 ans. C’est une solution qui est un peu moins efficace que le déferrage mais qui a fait ses preuves et permet de grandes performances au passage du poteau.
Plaquer et déferrer, la combinaison gagnante!
Si le choix entre les deux méthodes se pose, certains entraîneurs ont opté pour une combinaison des deux.
Plaquer un cheval aux antérieurs et le déferrer des postérieurs est une option souvent utilisée par les entraîneurs. Cette méthode intermédiaire est courante et va être mise en œuvre selon les pieds des chevaux et leur fragilité mais c’est une formule qui possède beaucoup d’adeptes dans le monde des courses de trot attelé.
Cette information est devenue incontournable pour les parieurs qui trouvent plus facilement les gagnants. Les pronostiqueurs de la presse hippique vont également beaucoup s’appuyer sur cet élément pour faire leurs choix de pronos, notamment dans le Tiercé Quarté Quinté pmu, la course hippique phare de la journée. Cette méthode améliore des chevaux de course moyens qui font parfois à l’arrivée à une cote d’outsider à la grande joie des turfistes les ayant joués.
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